• MW- SOUVENIRS Assistante Maternelle agréée

    2012 - 31.01.2022 

     SOUVENIRS

    Blog de sylviebernard-art-bouteville : sylviebernard-art-bouteville, Mme Sylvie Bernard assistante maternelle agréée (animatrice) - Accompagnement pédagogique.

     

     
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    Blog de sylviebernard-art-bouteville : sylviebernard-art-bouteville, Hugo,Mattéo et Nohan Juin 2012

    Blog de sylviebernard-art-bouteville : sylviebernard-art-bouteville, Mattéo et Nohan - Juillet 2012

     

     

    Activité manuelle le matin.

     

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    Direction le lavoir du Prat.

    L'après-midi.

     


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    Blog de sylviebernard-art-bouteville : sylviebernard-art-bouteville, Sir Mattéo et Sir Nohan - Journée médiévale - Août 2012

     

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    Blog de sylviebernard-art-bouteville : sylviebernard-art-bouteville, Sir Mattéo et Sir Nohan - Journée médiévale - Août 2012

    La Formation du chevalier au Moyen-Age 
     par Georges LENORMAND

    Au Moyen Âge, membre de la chevalerie ou d’un ordre de chevalerie. On devient chevalier à la suite d’une longue éducation, que sanctionne une cérémonie rituelle : l’adoubement.

    Les étapes de l’éducation

    7 à 12 ans : Il est valet d’armes

    12 à 16 ans : Il apprend à monter à cheval

    16 ou 18 ans : Il est écuyer puis page

    Enfin vers 20 ans, il est adoubé chevalier

    Lorsque la chevalerie devint l’apanage de la noblesse, le rejeton d’une maison noble était placé chez un seigneur puissant et riche, pour le servir et recevoir une éducation essentiellement militaire. A partir de quinze ans, l’adolescent devenait écuyer. Il continuait à servir, avec des responsabilités accrues, et, surtout, il accompagnait son maître dans ses guerres. Parvenu à l’âge d’homme, vers vingt ans, il était armé chevalier, soit par son seigneur, soit par son père, à condition que ceux-ci soient déjà chevaliers.

    L’adoubement d’un chevalier

    Jusqu’au XIe siècle, l’adoubement (mot qui proviendrait du verbe francique dubban : frapper) est une cérémonie très simple, qui coïncide généralement avec une fête religieuse. Au XIIe siècle, il devient une cérémonie fastueuse et très populaire. Sacralisé par l’Eglise, l’adoubement devient un sacramental.

    Le jeune écuyer voulant devenir chevalier est reçu au château de son futur vassal. Après un bain purificateur, le postulant se recueille et jeûne toute une journée. Il passe la nuit à l’église. Au matin, il assiste à la messe, communie et fait bénir son épée. Puis, revêtu des habits militaires propres à sa nouvelle condition. Il est alors emmené par des moines et des serviteurs qui lui donnent les dernières recommandations. Ces préparatifs ont pour but de laisser un temps de réflexion au postulant. Celui-ci doit être parfaitement sûr et libre de son choix. Son engagement est à vie et le serment qu’il prononce, inviolable.

    Dans la salle principale du château, en présence de sa famille, des seigneurs voisins et de ses camarades, le jeune écuyer prête serment à son seigneur. Il lui promet fidélité et loyauté à vie. Il reçoit alors son épée, le symbole de son rang, des éperons symbolisant son droit à posséder et dresser un cheval, son bouclier et ses armoiries.

    Pour clore la cérémonie, le futur chevalier reçoit la « colée » : une gifle dont il était d’usage de dire que c’était la dernière qu’il recevait sans la rendre. Il s’agit en fait d’un coup asséné du plat de la main sur le cou ou la nuque. La colée se transforme, à la fin du Moyen Age, en « accolade », coup donné du plat de l’épée sur l’épaule du futur chevalier. Cette paumée le consacre chevalier.

    Des fêtes concluent la journée. Musiciens, jongleurs et acrobates envahissent la salle, pendant que tout le monde s’attable pour le banquet. La journée se poursuit dans la liesse, ponctuée de joutes et de passes d’armes, jusqu’au soir, où le nouveau chevalier quitte le château de son seigneur.

    Le chevalier errant

    Rite initiatique, l’adoubement implique aussi l’entrée dans une nouvelle classe d’âge. Jusqu’à son mariage, parfois tardif, le chevalier est qualifié par les textes médiévaux de « jeune ». Sous la conduite d’un chevalier expérimenté, avec quelques compagnons, récents chevaliers comme lui, il quitte le château seigneurial et erre de longues années à la recherche d’aventures, d’exploits, de tournois, de richesses et de femmes. Car prouesse et largesse dissimulent un intense appétit de gains et la quête de riches héritières capables d’assurer au « jeune » un train de vie et une position qu’il ne peut trouver au château paternel.

    Pour éviter la dispersion des patrimoines, les lignages nobles veillent à marier leurs fils le plus tard et le mieux possible. Le fils aîné seul peut espérer hériter de la seigneurie lorsque son père ne sera plus en état de la gérer. En attendant, il mène cette vie d’errance ou s’engage dans des expéditions lointaines, comme les croisades, véritable aubaine pour ces jeunes instables et querelleurs. La littérature courtoise, qui trouve chez eux ses lecteurs, ou plutôt ses auditeurs, témoigne de leurs frustrations (d’argent, de femme) et leur propose des modèles conformes à leurs aspirations : le chevalier qui, par sa prouesse, a réussi à dénicher la riche héritière


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    Spectacle musical interactif intitulé " Où va la mer ? "

    Cadre de rencontres " Au Fil du Conte "

     

    Blog de sylviebernard-art-bouteville : sylviebernard-art-bouteville, Médiathèque " La Kinkaïri " Châteauneuf-sur-Charente. 5.10.2012

     

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    La KinKaÏri

    Médiathèque de Châteauneuf-sur-Charente

    18 rue du Général de Gaulle
    16 120 Chateauneuf-sur-Charente
    Tél: 05 45 97 16 20

    mediathequesccrc16@orange.fr
    http://bib-chateauneuf.dnsalias.net

     

    Ouverture le mardi et mercredi de 9h à 12h et de 14h à 18h

     Jeudi de 9h à 12h et de 16h à 18h 

     Samedi de 9h à 13h et de 14h à 17h

     

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    Mon petit Lapin

     

     

     

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